Pour qui aime son animal, et toute personne normalement constituée est dans ce cas, tout est mis en œuvre pour sa bonne santé. Les vaccins en sont des éléments importants. La majorité des vétérinaires français nous rappellent, par SMS, email ou autres, de ne surtout pas laisser passer une année et, encore plus fort, de ne pas avoir un peu de retard, ce qui re-
Je ne suis pas vétérinaire, donc je n'affirme rien ici. D'autant plus, qu'en France (comme dans d'autres pays d'ailleurs) les procédures judiciaires sont de plus en plus nombreuses. Je reste donc à ma place. Mais rien ne m'empêche, et je ne m'en prive pas, de lire de très nombreux compte rendus, études, analyses et conclusions de nombreux vétérinaires. Eux, ils ne risquent pas un procès au cul pour incompétence. Et on s'aperçoit que la fréquence des vaccinations tel que les vétérinaires français nous l'expliquent semble une aberration hallucinante qui irait complètement à l'encontre de la bonne santé animale. Mais ferait……….du chiffre.
"Presque sans exception, il n'y a pas de nécessité immunologique
à la revaccination annuelle. L'immunité aux virus persiste pendant
des années ou pour la vie chez l'animal" (…) "les rappels annuels sont
inutiles et n'offrent aucun avantage (l'immunité n'est pas augmentée).
Ainsi les rappels sont soit une question juridique (comme pour la rage)
soit une manipulation (induisant que les clients doivent venir pour
un vaccin plutôt que de leur proposer directement un examen)"
Source :
http://comportements-
"Faites attention à cette phrase :
« PRESQUE TOUS LES VACCINS DONNÉS À NOS CHIENS SONT INUTILES »
-
Source :
https://www.vismedicatrixnaturae.fr/sante-
dossier-
Quand on sait que la part du seul vaccin animal représente 22,9 %
de la totalité des produits utilisés pour soigner les animaux, là où
les antibiotiques ne représentent que 11,2 %, on comprend
beaucoup de choses
Source :
http://www.simv.org/les-
Vaccination des chats et des chiens: 99% des effets secondaires ne sont
pas rapportés, y compris les plus graves, et même mortels
Dogs Naturally Magazine, 18 février 2014
Source :
https://lesbrindherbes.org/2016/04/14/fievre-
Revacciner un animal qui est déjà protégé n’augmentera
aucunement son
niveau de protection. C’est la
plus grande erreur que nous
faisons en terme
de vaccination : nous pensons
qu’en revaccinant pour la base
(les fameux "rappels" à des intervalles déterminés par votre vétérinaire), on rajoute de
la protection dans son corps
comme nous pouvons rajouter
de l’essence dans une voiture.
C’est complètement faux, le
corps ne fonctionne
pas comme ça ! Il est protégé
ou il ne l’est pas, c’est tout
Source : http://aunomduchien.com/vaccination/
Un jeune scientifique du nom de Dr. Ronald Schultz, contrairement aux fabricants de vaccins, a décidé de la faire cette étude [NDLR : durée de protection des animaux suite aux vaccins] à long terme afin de savoir pendant combien de temps les trois vaccins de base (distemper, parvovirus et adenovirus) protègent l’animal une fois qu’ils sont administrés correctement.
À l’aide de son équipe, il a donc testé plus de 1000 chiens de toutes races en les vaccinant avec un des différents types de vaccins disponible sur le marché. Ils ont ensuite mesuré l’immunité de deux façons : par exposition (en exposant l’animal à la maladie) et par titrage (en mesurant le nombre d’anticorps dans le sang).
Cette étude, menée pendant plus de 15 ans l’a porté à conclure que suite à UNE
dose de vaccin donnée passé 16 semaines d’âge, les chiens sont protégés
au MINIMUM (dans le pire des cas) :
Sachant que la majorité des chiens vivent entre 10 et 15 ans, il n’est donc
pas faux d’affirmer qu’une fois protégé contre ces maladies,
l’animal le sera pour toute sa vie ou au minimum pendant 7 ans.
Au moment de la sortie de cette étude (il y a maintenant 21 ans), les vétérinaires vaccinaient chaque année, non pas parce que ce qu’ils nomment les "rappels" sont nécessaires mais bien parce que les fabricants n’avaient jamais testé leurs produits plus longtemps que quelques mois ! Jusque là, personne ne savait vraiment combien de temps duraient chaque vaccin, alors ils aimaient mieux vacciner plus souvent que pas assez. C’était par contre sans savoir les risques à long terme de la sur-
Grâce aux recherches du Dr. Schultz, les associations de vétérinaires savaient maintenant que pour les vaccins de base, les vaccins protégeaient pour toute la vie de l’animal. C’est donc suite à ces recherches qu’en 2003 (quand même 8 ans après la sortie de l’étude), l’association des vétérinaires américains (AAHA) a créé un comité spécial de 14 experts. Ce comité (dont faisait partie le Dr. Schultz) a eu comme mandat d’établir les nouvelles recommandations faites aux vétérinaires. Après de longs débats, ils ont finalement statué pour recommander de vacciner…aux 3 ans.
Pourquoi 3 ans? En fait, il n’y a aucune science derrière le choix du 3 ans. C’est tout simplement un compromis. Comme l’indique le Dr. Richard Ford, professeur de médecine à l’Université de la Caroline du nord et membre du comité de l’AAHA:
“It’s completely arbitrary…I will say there is no science behind the three-
Par contre, le bon point est que ce même comité a forcé les fabricants de vaccins à effectuer les études pour au moins prouver que les vaccins durent 3 ans et ainsi l’écrire sur l’emballage en remplacement du "revaccination annuelle recommandée".
En 2006 (soit près de 30 ans après les premières études du Dr. Schultz), l’étiquetage des vaccins fut modifié pour inscrire le 3 ans et les recommandations en matière de vaccination aux vétérinaires ont changées. Ce compromis était encore loin de la vérité (7 ans minimum) mais au moins, c’était un pas vers la bonne direction.
En 2011, devant les études répétées du Dr. Schultz prouvant l’immunité pour la vie, l’AAHA a une fois de plus corrigé ses consignes en matière de vaccination. Ils recommandent encore la revaccination aux 3 ans mais en ajoutant "Pour les chiens en bonne santé, tous les vaccins de base disponibles sur le marché offrent une immunité protectrice durant au moins 5 ans".
Encore un compromis…ils sont rendus à 5 ans maintenant mais cette fois-
Cela dit, les vétérinaires ne sont pas obligés de suivre les recommandations de leur association et peuvent encore vacciner à chaque année s’ils le désirent. En fait, selon un fabricant de vaccins, 60% des vétérinaires vaccinent encore chaque année. C’est donc à nous, les propriétaires de chiens à poser les questions ou refuser les vaccins proposés par le vétérinaire. Si leur association dit 5 ans, pourquoi iraient-
Source :
http://www.dogspirit.fr/index.php/sante/vaccination-
Presque sans exception, il n'y a nullement besoin, du point de vue
immunologique, de vacciner annuellement
L'immunité par rapport aux virus persiste pendant des années, voire durant toute la vie de l'animal. De nombreux vétérinaires et un nombre encore plus grand de clients en sont venus à remettre en question le fondement médical de la vaccination annuelle de routine de leurs animaux, et avec raison !
Cette pratique n'est pas défendable, alors pourquoi continuer à débattre
et à ignorer la question ? Nous ne
nous faisons pas inoculer cinq ou
six vaccins différents chaque année
de notre vie, alors pourquoi
en serait-
plusieurs vaccins sont inoculés aux humains pendant l'enfance et assurent une protection à vie pour une proportion significative des sujets vaccinés.
Source : http://www.b-
Pourquoi les vétérinaires vaccinent au lieu de vérifier
si l’animal est encore protégé?
extrait de :
Si les vétérinaires étaient vraiment intéressés à s’assurer que les animaux sont immunisés (ce qui est le but de la vaccination), ils seraient les premiers à faire la publicité des tests de titrage d’anticorps ("titer test" en anglais). Vous n’avez jamais entendu parler de ce test? C’est bien là tout le problème. Les tests de titrage d’anticorps, en mesurant le nombre d’anticorps dans le sang, permettent d'évaluer si la vaccination est utile ou non. Alors, pourquoi les vétérinaires vaccinent au lieu de vérifier si
l’animal est encore protégé?
Principalement : pour l’argent. Les vaccins sont très rentables pour les vétérinaires. La marge de profit sur un vaccin se situe entre 2.400 et 6.200 pourcents (un vaccin vendu 20€ leur coûte en réalité moins que 1€). Vacciner moins souvent signifierait donc moins de revenus, alors que la vaccination compte pour une grande part des revenus d’une clinique. Une estimation permet d’affirmer qu’environ la moitié des visites de chiens et le ¾ des visites de chats en clinique vétérinaire concernent la vaccination.
Donc en considérant la marge de profit, le nombre de visites reliées à la vaccination et la durée très courte de ces visites, nous pouvons en déduire que le "business" de la vaccination est très lucratif ! Je n’irai jamais jusqu’à dire que les vétérinaires français sont dans ce milieu pour l’argent ou qu’ils n’ont pas le bien-
Cela dit, ils ne sont pas les seuls à blâmer. Les vétérinaires s’appuient aussi sur les consignes du fabriquant des vaccins. Par contre, ce que peu de gens savent, c’est que les fabricants testent seulement leurs vaccins pour une très courte durée (quelques mois) puisqu’après tout, ils veulent en vendre ! Ce n’est donc aucunement dans leur intérêt de faire des études pour prouver que le vaccin protège l’animal pour 7 ou 9 ans ou même plus…
À la base du problème, il y a un proverbe ancien qui pourrait nous expliquer facilement pourquoi les vétérinaires sont très peu enclins à laisser tomber la sur-
"Il est impossible de réveiller quelqu’un qui fait semblant de dormir"
autre source sur des tests
de titrage d’anticorps
Comment avoir la confirmation qu’un animal est bien protégé par
ses vaccins de base?
Il existe un test sanguin à faire qui permet de déterminer le niveau de protection d’un animal aux trois
maladies de base (distemper,
parvovirus et adenovirus). Le test s’appelle un titrage ou une sérologie (titer test en anglais). La procédure
est très simple : le vétérinaire fait
une prise de sang et l’envoi ensuite
au laboratoire pour analyse.
À ce jour, très peu de vétérinaires proposent ce test à leurs clients. Pourtant, non seulement ce test
permet de savoir si oui ou non
l’animal est protégé pour chaque
maladie séparément mais il permet
aussi de savoir son niveau
de protection
Source : http://www.dogspirit.fr/index.php/sante/vaccination-
Et oui, en France, le vaccin animal tel qu'il est pratiqué, peut tuer.
Et de plus, ces vaccins qui
peuvent tuer sont encouragés,
rappelés, par une profession :
celle de vétérinaire.
Vous ne le saviez pas ? Ah, bon.....
*****
Dans cette page, je vous résume l'essentiel du scandale de la vaccination annuelle des chats
et chiens principalement pratiquée par l'écrasante majorité des vétérinaires français.
Maladie |
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Protection par exposition |
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Protection par titrage |
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Distemper |
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Minimum 7 ans |
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Minimum 15 ans |
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Parvovirus |
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Minimum 7 ans |
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Minimum 9 ans |
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Adenovirus |
|
Minimum 7 ans |
|
Minimum 9 ans |
La plupart des professionnels de la santé animale conseillent de faire vacciner son animal de compagnie une fois par an.
En effet, certaines récentes études tentent de montrer que dans la plupart des cas, vacciner son animal de façon répétée n’est pas forcément nécessaire, et depuis peu, quelques propriétaires se demande si ce rythme n’est pas trop soutenu.
Bien plus inquiétant, des observations cliniques ont quant à elles voulus montrer plusieurs liens entre la vaccination et de nouvelles maladies dont les animaux sont de plus en plus aux prises telles que des cancers qui apparaissent vers 2 ans, des maladies auto–immunes, des fibrosarcomes, des anémies, etc.
Des vaccins trop fréquents
Charles E. Loops , médecin vétérinaire et homéopathe pratiquant en Caroline du Nord, écrit sur son site Internet :
« Je pratique depuis plus de vingt ans la médecine vétérinaire. Je constate une apparition des maladies chroniques beaucoup plus tôt qu'autrefois. À l'époque, les cancers chez des chiens ou des chats de 5 ans étaient plutôt rares; aujourd'hui, il n'est pas inhabituel de diagnostiquer des cancers mortels chez des animaux de 2 ou 3 ans. Le nombre de cas est définitivement en hausse. De mauvaises pratiques au niveau de l'élevage, une piètre alimentation et d'autres facteurs environnementaux peuvent avoir un rôle à jouer, mais je crois que le facteur le plus important est la vaccination répétée tout au long de la vie de l'animal. Cette pratique a fait en sorte que nous avons affaibli génétiquement nos compagnons animaux ».
La durée minimale de l’immunité des produits constituant le vaccin pourrait protéger un chien jusqu'à 7 ans ou un chat jusqu’à 15 ans !
Actuellement, la plupart des vétérinaires recommandent toujours à leur clientèle de vacciner annuellement son chien ou chat, même si ces derniers ne sont pas toujours en parfaite santé.
Attention aux animaux malades
Saviez-
Sachez qu'aucune loi ne nous oblige à vacciner ou revacciner notre compagnon animal (mis à part le vaccin contre la rage lorsqu'il est question de traverser les frontières), mais il est quand même conseillé de rendre visite chaque année à votre vétérinaire afin de faire un bilan de santé complet. Si vous vous posez des questions à propos de la vaccination, prenez conseil auprès d'un professionnel de la santé animale.
Source :
https://fr.yummypets.com/mag/2015/06/22/vaccination-