Nous savons depuis longtemps que ce pape François était d'extrême gauche, et donc massivement
pro-
n'ayant pas permis qu'il comprenne que seuls les régimes capitalistes développent les pays et améliorent la condition des pauvres, et que les régimes gauchistes créent des pauvres à n'en plus les compter, sans
évoquer l'installation systématique d'une dictature.
Il faut avoir de la boue dans les yeux pour ne pas s'en rendre compte.
Mais, aveugle et sourd comme tous les islamo-
sans cesse son obsession migratoire.
Si tant est que cela soit encore nécessaire, en voici encore une autre preuve…..
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Extrait de la Lettre Quotidienne de Valeurs Actuelles LE CLUB
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Publié le 08 juillet 2019
MESSE POUR LES MIGRANTS :
QUAND LE PAPE FRANÇOIS CONFIRME SON OBSESSION MIGRATOIRE
Six ans après son voyage à Lampedusa, le pape François a célébré dans la basilique Saint-
une “messe pour les migrants”. Un geste inédit qui témoigne de la place obsessionnelle prise
par cette thématique dans son pontificat.
Devant une assemblée restreinte constituée exclusivement d’immigrés, de réfugiés et de responsables d’associations aidant les immigrés légaux ou clandestins, le pape François a célébré, ce lundi 8 juillet, une « messe pour les migrants », à l’occasion de l’anniversaire de son premier déplacement en tant que pape, qui avait eu lieu sur l’île de Lampedusa, le 8 juillet 2013. Cette île, qui était alors le premier point d’arrivée des clandestins en Europe, devait devenir, selon le pape François, « un phare pour le monde entier » pour lutter contre « la mondialisation de l’indifférence ».
L’objectif de cette messe de la basilique Saint-
Préférence quasi obsessionnelle pour les immigrés
Reste qu’on n’a pas souvenir que le pape ait jamais célébré de messe spécifiquement pour ces autres exclus, qu’il s’agisse des sans-
Pour expliquer cette préférence quasi obsessionnelle, il convient de ne pas oublier le contexte italien. Alors que le scrutin européen a installé la Ligue de Matteo Salvini comme première formation politique italienne, avec 34 % des suffrages, et que le ministre de l’intérieur a fondé sa popularité croissante sur sa fermeté sur la question des frontières tout en affichant son attachement à l’identité chrétienne de l’Europe, l’Eglise se pose en premier opposant à sa politique. Vade retro Salvini, avait titré il y a quelques mois l’hebdomadaire Famiglia christiana, n’hésitant pas à diaboliser, au sens propre, l’homme politique. En plein bras de fer entre le ministre de l’Intérieur et la capitaine du Sea-
Le migrant, « symbole de tous les exclus »
Mais Matteo Salvini aura beau jeu de répliquer que ce qui sauve des vies en Méditerranée, c’est bien sa politique de fermeté, qui a eu pour conséquence de faire baisser spectaculairement le nombre d’embarquements clandestins et donc de noyades, et non la politique d’ouverture inconditionnelle prônée par le Vatican, qui crée un dangereux appel d’air propice aux prises de risques les plus insensées comme aux trafics des passeurs. Et qu’il y a quelque irresponsabilité à encourager les associations qui aident les immigrés clandestins sans s’interroger sur leurs liens, bien réels, avec les passeurs qui exploitent et mettent en danger ceux-
Au-
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