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Les dangers très réels des

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RAPPEL ANNUEL DE VACCINS :

UNE PRATIQUE INJUSTIFIÉE

ET DANGEREUSE

     Tous les propriétaires de chien ont été, à un moment ou un autre, concernés par la vaccination de leurs chers compagnons à quatre pattes.

Que ce soit à la suite d'une maladie, par le discours d'un éleveur ou en y étant sensibilisés par un vétérinaire. Même la publicité s'y est mise avec le message : Je l'aime, je le vaccine. Sous-entendu que si vous ne le vaccinez pas, vous ne l'aimez pas. Ou comment vraiment vous faire culpabiliser avec cette campagne pour le compte de Virbac, laboratoire pharmaceutique et fabricant de vaccins

Il est plutôt naturel de faire confiance en la parole d'un professionnel de la santé quand ce dernier vous dit qu'il faut mettre en place un protocole de vaccination et que chaque année, il faudra lui amener votre chien pour effectuer un rappel.

Certains allant même jusqu'à vous conseiller de ne pas trop sortir le chien entre la primo-vaccination (aux alentours de 7 semaines) et le rappel (aux alentours de 3 mois) afin d'éviter une exposition à d'éventuelles maladies.

Alors, qu'en est-il vraiment ? Faut-il réellement suivre le protocole de vaccination sans se poser de question ? Existe-t-il un risque pour la santé du chien ?

Pour répondre à ces questions, je vous propose la (longue) lecture d'une étude faite par Don Hamilton.


VACCINATION EN MÉDECINE VÉTÉRINAIRE : CHIENS ET CHATS

Health Hazzard Of Routine Vaccinations par Don Hamilton, Docteur en médecine vétérinaire :

Source : http://www.thenaturalcarnivore.com/health-hazzards-of-routine-vaccinations.html


Une pratique qui a commencé il y a de nombreuses années et qui manque de validité scientifique sur la nécessité de rappels annuels de vaccination. Presque sans exception, il n'y a pas de nécessité immunologique à la revaccination annuelle. L'immunité aux virus persiste pendant des années ou pour la vie chez l'animal. Une vaccination réussie à la plupart des agents pathogènes bactériens produit une mémoire immunologique qui reste pendant des années, ce qui permet à l'animal de développer une réponse de protection anamnestique (secondaire) lorsqu'il est exposé à des organismes virulents. Seule la réponse immunitaire à des toxines nécessite des boosters (comme par exemple le booster de la toxine du tétanos, chez l'homme, qui est recommandé une fois tous les 7 à 10 ans). En outre, la revaccination pour la plupart des vaccins viraux ne parvient pas à stimuler une réponse anamnestique (secondaire) en raison de l'interférence avec les anticorps existants (semblable à des interférences avec les anticorps maternels). À notre avis, la pratique de la vaccination annuelle devrait être considérée d'une efficacité douteuse, sauf si elle est utilisée comme un moyen de fournir un examen physique annuel ou est requise par la loi (certains Etats qui exigent une revaccination annuelle contre la rage). (1)


En résumé : les rappels annuels sont inutiles et n'offrent aucun avantage (l'immunité n'est pas augmentée). Ainsi les rappels sont soit une question juridique (comme pour la rage) soit une manipulation (induisant que les clients doivent venir pour un examen plutôt que de leur proposer directement un examen).


La question de la vaccination initiale est moins évidente que celle des rappels. De nombreux cliniciens estiment que sans vaccination, ils verraient des foyers de maladie, en particulier la parvovirose canine. Cela peut être un problème difficile à résoudre. En effet, un dilemme fondamental est que la vaccination conduit à l'affaiblissement des gènes, et donc à la santé globale d'une population donnée. On suggère que cela permet aux individus de vivre ou sinon ils succomberaient à la maladie, bien que la maladie soit un moyen naturel de "nettoyer" et de renforcer ainsi cette population. De nos jours, cela présente naturellement un dilemme moral (notre compréhension de la pensée indigène ou autochtone suggère que laisser mourir des individus faibles était implicitement compris comme non seulement acceptable mais aussi naturel). La société occidentale valorise le droit de vivre de l'individu, donc nous faisons des efforts pour sauver tous les individus. Toute réponse à cette question réside naturellement chez l'individu concerné.

Ensuite, une théorie plus convaincante sur le mécanisme d'interaction entre un vaccin et le corps suggère que les vaccins "protègent" contre la maladie aiguë, non par la prévention de la maladie mais en changeant la forme de la maladie en une maladie chronique. (2)

Par exemple, le virus de la panleucopénie des chats induit un dysfonctionnement intense et à la progression rapide dans le tube digestif, ce qui conduit à des vomissements et/ou de la diarrhée. Pour des animaux adultes et vaccinés, cela se traduit par une diarrhée chronique et parfois des vomissements. Cette maladie est connue comme une maladie intestinale inflammatoire (MII), une maladie auto-immune de l'intestin. La MII est apparue à des niveaux proches de l'épidémie au cours de ces dernières années ; aucune autre explication raisonnable n'a été proposée pour la prolifération des cas de cette maladie.


Les vaccinations sont connues pour être un déclencheur important d'autres processus auto-immunes chez des individus sensibles, (3) il est donc raisonnable de soupçonner que les vaccins puissent déclencher des MII. Un autre aspect de l'infection par le virus de la panleucopénie, implicite par le nom du virus, est le nombre de globules blancs réduit considérablement et correspondant à un déficit immunitaire. Se pourrait-il que l'apparition de la maladies virale de la leucémie féline et, plus tard, de la maladie virale de l'immunodéficience féline puisse être liée à la vaccination pour la panleucopénie au cours des deux décennies précédentes ? Le logique de cette théorie ne permet pas de révoquer facilement une relation probable de cause à effet. Ces deux maladies produisent un faible nombre de globules blancs dans le sang et une immunodéficience dans le cadre de leurs symptômes complexes.


Des connexions similaires ont été proposées entre la maladie de Carré, la toux du chenil et les parvoviroses canines comme "la maladie de Carré" qui comprennent un symptôme de pneumonie ainsi que de diarrhée sévère. Une toux chronique est caractéristique de la toux de chenil ; la parvovirose affecte les intestins, produisant une diarrhée sévère et des vomissements. En outre, l'incidence de la maladie inflammatoire de l'intestin chez les chiens semble être à la hausse depuis une ou deux années. La vaccination des chiens contre la parvovirose est en vigueur depuis quinze ans, en contraste avec l'histoire beaucoup plus longue de la vaccination contre la parvovirose chez les chats (le virus de la panleucopénie féline est un membre de la famille des parvovirus). Cela laisse présager un avenir effrayant pour les chiens si cette connexion est avérée.

Enfin, des connexions sont proposées entre la vaccination contre la rage et un nombre croissant d'animaux agressifs et craintifs. Les problèmes visibles de comportement sont aujourd'hui un phénomène récent, qui était rare il y a seulement deux à trois décennies. (4)

Leur émergence coïncide avec la pratique de la vaccination répétée des adultes, ce qui suggère la nécessité d'examiner cette relation. Des comportements agressifs ont été observés chez les chiens pendant plusieurs jours après la vaccination contre la rage, même avec des vaccins non-infectieux [tués]. (5, 6)


Comme les praticiens ont pour responsabilité le bien-être de leurs patients, les vétérinaires sont confrontés à un défi lorsqu'il s'agit de maladies aiguës. Les vaccinations peuvent prévenir ces maladies aiguës, mais si c'est pour une maladie chronique à vie en échange, est-ce vraiment une option viable ? (Viable vient de vie en français, la question est donc de savoir si le patient vivra et s'épanouira ou ne fera qu'exister)


Premièrement, rappelons que les rappels de vaccins sont inutiles, nous pouvons arrêter toute vaccination après un an d'âge pour presque toutes les maladies (voir ci-dessous ; la rage est exigée par la loi de sorte que nous devons travailler à changer les lois afin qu'elles soient en conformité avec les faits plutôt que la peur).

Comme la répétition augmente naturellement le risque de problèmes, nous pouvons réduire considérablement les effets secondaires sans risque supplémentaire pour le patient en stoppant simplement les rappels pour adultes. Bien sûr, il y aura toujours un certain risque, même avec les vaccinations initiales, mais aucun risque de contracter une maladie aiguë lorsque l'animal est déjà immunisé par les premiers vaccins. Voir ci-dessous pour la durée de l'immunité aux différentes maladies pour lesquelles il existe des vaccins.


Deuxièmement, tous les vaccins devraient être administrés comme antigènes uniques. (Un antigène est quelque chose qui est capable d'induire une réponse immunitaire, dans ce cas, un organisme viral ou bactérien à partir duquel un vaccin est produit). Cela signifie qu'il ne faut pas utiliser de vaccins combinés, devenus tellement courants de nos jours. L'exposition naturelle aux maladies est normalement d'une à la fois, et le corps est probablement plus apte à répondre à un seul antigène en produisant une immunité sans effet indésirable plutôt que de réagir à des antigènes combinés. Par conséquent, plutôt que de donner un groupe d'antigènes à trois ou quatre semaines d'intervalle, les composants individuels devraient être donnés en utilisant un programme alternatif avec un minimum de répétition (Cf. ci-après).


Troisièmement, ne vacciner que pour les maladies qui répondent à tous les critères suivants :

La maladie est grave voire mortelle

L'animal est ou sera exposé à la maladie

Le vaccin de la maladie est connue pour être efficace

Le vaccin contre la maladie est considérée comme sûr

Prenons le virus de la leucémie féline (FeLV en anglais pour Feline Leukemia Virus) comme exemple de maladie. Un seul chat d'intérieur ne sera pas exposé car cela nécessite un contact intime et direct de chat à chat. Pourtant, beaucoup de vétérinaires recommandent d'immuniser les chats d'intérieur contre cette maladie. Je crois que c'est contraire à l'éthique. Cette maladie ne correspond pas aux critères 3 et 4 selon ma propre expérience, et donc la vaccination n'est pas justifiée dans la plupart sinon toutes les circonstances.

La maladie virale de la péritonite infectieuse féline (PIF) est une autre maladie qui ne répond pas aux critères 3 et 4. Le vaccin contre la PIF a été généralement inefficace et a produit des effets secondaires graves. Parmi les effets secondaires que j'ai observés pour la PIF et la FeLV, il y avait l'induction de maladie clinique qu'ils étaient censés permettre d'éviter.


Chez les chiens, le virus de l'hépatite canine (CH en anglais) est presque inexistant (le vaccin pour prévenir le CH est l'Adenovirus-2).

La leptospirose est extrêmement rare et n'est pas souvent du même sérotype que celui utilisé dans le vaccin (7), et le vaccin bactérien pour "lepto" est très sensible aux effets secondaires.

Le maladie du coronavirus n'a jamais été une menace sérieuse, sauf pour les comptes bancaires des compagnons des chiens. C'est aussi vrai pour la maladie de Lyme, sauf peut-être dans quelques petites régions.

La maladie la toux du chenil n'est généralement pas grave (ne répond pas au critère 1), et une étude a montré que la vaccination est inefficace voire même contre-productive. (8)


La vaccination devrait être limitée à des circonstances à haut risque, voire ne pas du tout être faite. Une situation similaire existe avec les maladies félines des voies respiratoires supérieures ; la plupart ne sont pas graves, sauf chez les très jeunes chatons qui contractent la maladie avant que les vaccins soient généralement administrés.

La rage est une autre maladie pour laquelle les chats d'intérieur et les chiens bien confinés ne sont pas exposés, de sorte que le vaccin est inutile cliniquement bien qu'exigé par la loi (ndlr - selon certains critères et certains pays).




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