L’UE à la Norvège :

« vous devez accueillir plus de migrants africains »


PUBLIÉ PAR ROSALY LE 23 SEPTEMBRE 2017 sur Dreuz.info


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© ROSALY pour Dreuz.info.
























A Bruxelles, on semble être à bout de nerfs.

Le nombre d’envahisseurs, majoritairement en provenance d’Afrique, ne cesse de s’accroître et personne, à l’exception de l’Ange Merkel,

ne souhaite plus les héberger.



Les États membres du groupe Visegrad notamment la Hongrie et la Pologne persistent avec intelligence et sagesse dans leur refus d’accueillir des migrants musulmans et africains. Les autres pays de l’UE, à l’exception de l’Allemagne de l’Ange Merkel, montrent de moins en moins d’enthousiasme à l’idée d’accueillir des « réfugiés » supplémentaires de Grèce, d’Italie et récemment d’Espagne, et ce, malgré les injonctions autoritaires de l’UE et de la Chancelière. Certains dirigeants européens seraient-ils enfin conscients du danger que représentent ces migrations de masse en flux continus en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient pour l’avenir des peuples et des nations européennes ?


Le Grec Dimitris Avramopoulos, commissaire européen à la Migration et aux Affaires intérieures, très sensible aux problèmes des réfugiés, s’est adressé aux Etats membres de l’UE, les priant fermement d’accueillir 40 000 Africains. Et cette fois, oh surprise, la Norvège faisait partie de la liste. Or, ce pays n’est pas membre de l’UE.


Monsieur le Commissaire Avramapoulos l’aurait-il oublié ?


Comme rapporté par le journal norvégien Dagbladet :


« Les Norvégiens sont aussi sommés d’accueillir un certain quota de “ réfugiés ” en provenance de Libye, d’Afrique du Nord et de la Corne de l’Afrique (Somalie, Erythrée, Soudan). »


Fin 2015, la Norvège avait clairement fait savoir, qu’elle n’accepterait plus de réfugiés ou alors en moindre nombre et qu’elle durcirait ses lois sur le droit d’asile.


La période d’attente pour l’obtention d’un permis de séjour permanent a ainsi été portée de 3 à 5 ans et pour un éventuel regroupement familial, l’immigrant doit désormais disposer d’un revenu annuel élevé ou avoir travaillé au minimum 4 ans dans le pays.


« La Norvège devrait être moins attrayante pour les migrants économiques, n’ayant pas vraiment besoin d’asile » avait déclaré en son temps Sylvi Listhaug, ministre à l’Immigration et à l’intégration.


Il semblerait donc que Dimitris Avramopouls ait joué les mauvaises cartes en voulant imposer à la Norvège d’une manière drastique l’accueil de migrants non désirés.


Mais l’œuvre de destruction en cours des nations et des peuples européens par cette machine à tuer leur souveraineté, leur sécurité, leur indépendance, leur identité, leur civilisation qu’est l’UE, ne s’arrête pas là.


Un rapport sur la détermination de l’âge des « réfugiés » mineurs vient d’être publié par le Conseil de l’Europe.
Il s’intitule : « Politiques, procédures et pratiques des états membres du Conseil de l’Europe respectueuse des droits de l’enfant dans le cadre de la migration».


Ce rapport vise à préserver l’intérêt supérieur de l’enfant, dans la détermination de l’âge des migrants et d’éviter de recourir à des méthodes intrusives, comme les examens dentaires, les radiographies et surtout les tests de maturité sexuelle, car ces méthodes peuvent causer des souffrances physiques ou psychologiques. Le recours aux examens médicaux intrusifs devrait être réduit au minimum et doit rester une mesure intervenant en dernier ressort, indique le rapport.


L’évaluation de l’âge devrait être conduite par des professionnels spécialement formés et qualifiés en matière de développement de l’enfant. Le genre, la culture, l’histoire personnelle et le contexte familial de l’enfant doivent être pris en compte. Les approches pluridisciplinaires de ce type restent rares ; seul 19 des États membres couverts par l’étude y ont recours.


Intentions louables, mais en introduisant la « présomption de minorité » l’UE laisse grandes ouvertes ses portes aux faux mineurs isolés et ils sont pléthores.


«En l’absence de preuves qu’une personne est un adulte, le principe général de présomption de minorité impose de considérer cette personne comme un enfant », souligne le rapport qui indique que 26 pays sur les 37 états européens appliquent déjà cette rhétorique.»

Ainsi, il suffira de se prétendre » mineur isolé non accompagné « pour bénéficier d’un statut privilégié, éviter l’expulsion et faire venir toute sa famille. Et si ces mineurs ressemblent à des adultes, leur vieillissement prématuré est dû aux ravages de la guerre sévissant dans leur pays d’origine, affirment les bonnes âmes… A noter, que nombre d’entre eux ne viennent pas de pays en guerre, comme le Maroc, l’Algérie ou la Tunisie, etc.


Peu importe le nombre d’agressions sexuelles et attaques perpétrées par ces “ mineurs ” isolés à l’encontre de nos enfants, ce n’est point là le souci majeur des membres du Conseil de l’Europe, puisque tout réfugié est automatiquement angélisé.


En 2015, le Times rapporta que deux tiers des mineurs isolés arrivés en Grande-Bretagne en provenance de la jungle de Calais étaient des adultes. (barenakedislam.com)



Tandis que les deux autres “enfants”, dont les photos apparaissent en haut du mémo, ont été admis en Angleterre. Ils ont bénéficié de la “présomption de minorité” bien avant la publication du rapport du Conseil de l’Europe. Et d’autres “enfants” ou “mineurs” prématurément vieillis pourront désormais être accueillis dans l’UE en toute légalité.


Grâce à cette nouvelle initiative humaniste du Conseil de l’Europe, l’UE sera submergée de “ mineurs isolés ” bénéficiant de la “présomption de minorité ”.


Et enfin, J.C. Juncker, qui n’abandonne pas son rêve d’illuminé malfaisant de détruire les nations européennes, peaufine leur mise à mort.


L’adhésion éventuelle de la Turquie islamiste d’Erdogan étant momentanément suspendue, le belliqueux Sultan d’Ankara ne faisant plus l’unanimité, J.C. Juncker a appelé à poursuivre l’élargissement de l’Union européenne aux pays appartenant à la poudrière balkanique, lors de son discours annuel sur “l’état de l’Union européenne”.


Ce serait la porte ouverte à plus d’immigration musulmane, à plus de trafics d’armes et de drogue, déjà bien actifs dans nos pays, à plus de risques de conflits au sein de l’UE.


Avant de fantasmer sur l’intégration des pays des Balkans à l’UE, ne serait-il pas d’abord plus sage de régler la situation dans la région, à supposer que cela soit dans l’ordre du possible, afin de réduire la menace liée à la migration illégale et au trafic d’armes et de drogue. Mais le bon sens n’est pas la qualité majeure de J.C. Juncker ni de ses comparses à l’UE.


Vingt ans après la fin de la guerre dans l’ex-Yougoslavie, les tensions interethniques continuent à secouer la région. Au Kosovo, en Bosnie-Herzégovine…, certains redoutent le retour d’un conflit armé. L’an dernier, la crise des migrants a encore davantage fragilisé les équilibres entre la Croatie, la Serbie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro, le Kosovo, la Macédoine et l’Albanie. Mais cela passe par-dessus les épaules de notre éminent président de la Commission européenne.


Une Europe toujours plus élargie, toujours plus multiculturelle, toujours plus musulmane : le rêve de J.C. Juncker et de ses acolytes, même si la réalisation de ce rêve-cauchemar implique la disparition des Européens de souche, de leur civilisation, de leur culture gréco-romaine, de leur foi et de leurs valeurs judéo-chrétiennes. Une nouvelle Europe métissée, uniformisée et islamisée, voilà le futur radieux, auquel aspirent les technocrates de Bruxelles pour nous les Européens. Un avenir, qui donne la chair de poule.


Je terminerai par quelques extraits du discours de Viktor Orban au Congrès de l’Association des intellectuels chrétiens, dans le bâtiment du Parlement hongrois, le 16 septembre 2017. (discours traduit par Cenator pour Les Observateurs.ch) un peu de vent frais et de bon sens de Hongrie !


Nous voyons un phénomène étrange dans la politique européenne. Je cite l’ancien secrétaire d’État américain, M. Kissinger, qui a dit: “Aujourd’hui, nous pouvons observer une situation historique totalement rare. Une région qui ne protège pas ses frontières extérieures, voire qui les ouvre. Il n’y a rien eu de tel depuis mille ans.

De toute évidence, dans les pays d’immigration, les droits relatifs à l’admission des migrants priment aujourd’hui sur les droits relatifs à la protection des frontières extérieures des États souverains. Pour notre part, nous n’acceptons pas cette thèse de la priorité des migrants sur le droit à la protection des frontières extérieures. Cette thèse a pour conséquence, comme nous le constatons en Occident, que les migrants illégaux bénéficient d’un avantage en matière de droits de l’homme, contre la volonté des citoyens européens, qui ne veulent pas ou ne veulent plus leur présence. Cela soulève aussi la question de la démocratie. Ce à quoi nous sommes confrontés, c’est le problème de la démocratie des pays occidentaux. Ils suivent des principes que manifestement la grande majorité de leurs peuples ne suit plus. Leurs peuples ont peut-être suivi autrefois ces principes, mais ils commencent à les abandonner ou même à s’y opposer. Ici, nous ne connaissons pas ce problème de démocratie, puisque nous avons choisi, dans cette question difficile d’admettre ou non l’immigration, la solution d’une consultation populaire pour impliquer dans la décision politique les citoyens désireux d’exprimer leur avis.

L’idéologie des pays d’immigration est facile à identifier, c’est d’ailleurs cette idéologie qui a fait d’eux des pays d’immigration. C’est la domination de l’idéologie de gauche internationale. Au contraire, dans le cas des pays de non-immigration, la conviction principale n’est pas le gauchisme international, mais la souveraineté et les enseignements de la société chrétienne. L’acceptation de l’idéologie dominante de l’Europe occidentale serait pour les Européens centraux simplement un suicide, plus exactement elle deviendrait de nouveau l’idéologie du suicide. Et cela aboutirait à ce que nous soyons nous aussi un pays d’immigration. Nous souffririons nous aussi du terrorisme, chez nous aussi la sécurité publique s’effondrerait, nous non plus ne pourrions plus défendre nos frontières, et nous cesserions de croire qu’avec une politique de soutien aux familles, notre déclin démographique, lancinant et potentiellement fatal, peut être arrêté voire inversé. Nous nous mettrions alors, comme eux, à importer des populations de l’extérieur pour contrer ce déclin démographique.

Tout cela signifierait pour l’Europe centrale que, dans un avenir prévisible, nous deviendrions nous aussi des pays de culture mixte, et que dans nos vies même, notre identité nationale et chrétienne serait irréversiblement ébranlée. Cela signifierait que nous perdrions tout ce que nous avons accompli ici depuis mille ans et trente-six générations, depuis les débuts si difficiles de nos ancêtres, dans le bassin des Carpates, où tant de Hongrois ont donné leur vie pour le pays.

En conséquence, la situation est telle que nous devons nous opposer à de tels plans.

Certains politiciens sont comme de mauvais cavaliers qui sont si préoccupés de pouvoir rester en selle qu’ils ne peuvent plus s’occuper de la direction qu’ils prennent. Si nous regardons l’Europe aujourd’hui, c’est un peu l’impression que nous avons ! ”

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.


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Sources :

“ Brüssel : nicht EU-Land Nowegen soll mehr Afrikaner nehmen » PI. News
‘No age tests for obvious adult-aged muslim migrant children’ Bare naked islam

bien l'bonjour  à mes amis de Dreuz !

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